En plus, vous pouvez voir, en bas à gauche, l'adorable Enora, qui, bien qu'invitée, met la main à la pâte, sous prétexte qu'on l'a prévenue trop tard pour qu'elle puisse nous faire ses légendaires Shortbreads écossais.
Non, nous ne sommes pas en train de réciter le bénédicité ( on n'est pas au B6, non plus ! ), mais le repas peut quand même commencer.
Non, nous ne sommes pas en train de réciter le bénédicité ( on n'est pas au B6, non plus ! ), mais le repas peut quand même commencer.
Quelques portraits de convives...
Hamidou.
Karine.
Thibaud, notre idole à tous, qui nous manque beaucoup depuis qu'il est parti à Toulouse.
Jérémie.
Myriam ( qui culpabilise d'avoir bu tant de punch pour sa première soirée parmi nous )et Pauline ( qui ne culpabilise pas du tout : on est une vieille routarde ou on ne l'est pas ! Et, oui, j'aime parler de moi à la troisième personne ! Je vous rappelle que je suis latiniste ! ).
Mais aussi, y a pas que nous qui picolons, d'abord !
Vous nous croyez si on vous dit que Jérémie ne boit pas d'alcool ?
Ajda et Enora.
Deux playboys sur un balcon...
... forcément, ça fait des dégâts...!
Pendant ce temps-là, Enora se fait toujours honteusement exploiter.
Thibaud a royalement offert à Sarah un pot de sauce pesto et lui propose de la déguster roulée dans une crèpe.
Bonne joueuse, elle s'exécute...
Comme vous pouvez le constater, c'est dé-li-cieux.
Simon aime le punch : d'ailleurs, il est en train de le finir...
Ça discute sec d'un côté de la table...
... de l'autre aussi...
... pendant que certains médisent à qui mieux mieux.
Nous étions en bonne compagnie, ce soir-là : deux agrégés, l'une de lettres classiques, l'autre de grammaire ( et Thibaud et Jérémie, mais ce sont des matheux, donc ils comptent pour du beurre, voilà ) !
Exclusif : les grammairiens n'ont pas disparu, nous en avons retrouvé deux !
Et en plus, ils s'entraident quand on veut les embêter !
La calvaire de Sarah continue : Thibaud lui a piqué ses lunettes ( et cherche visiblement à fonder une nouvelle secte ).
Karine.
Thibaud, notre idole à tous, qui nous manque beaucoup depuis qu'il est parti à Toulouse.
Jérémie.
Myriam ( qui culpabilise d'avoir bu tant de punch pour sa première soirée parmi nous )et Pauline ( qui ne culpabilise pas du tout : on est une vieille routarde ou on ne l'est pas ! Et, oui, j'aime parler de moi à la troisième personne ! Je vous rappelle que je suis latiniste ! ).
Mais aussi, y a pas que nous qui picolons, d'abord !
Vous nous croyez si on vous dit que Jérémie ne boit pas d'alcool ?
Ajda et Enora.
Deux playboys sur un balcon...
... forcément, ça fait des dégâts...!
Pendant ce temps-là, Enora se fait toujours honteusement exploiter.
Thibaud a royalement offert à Sarah un pot de sauce pesto et lui propose de la déguster roulée dans une crèpe.
Bonne joueuse, elle s'exécute...
Comme vous pouvez le constater, c'est dé-li-cieux.
Simon aime le punch : d'ailleurs, il est en train de le finir...
Ça discute sec d'un côté de la table...
... de l'autre aussi...
... pendant que certains médisent à qui mieux mieux.
Nous étions en bonne compagnie, ce soir-là : deux agrégés, l'une de lettres classiques, l'autre de grammaire ( et Thibaud et Jérémie, mais ce sont des matheux, donc ils comptent pour du beurre, voilà ) !
Exclusif : les grammairiens n'ont pas disparu, nous en avons retrouvé deux !
Et en plus, ils s'entraident quand on veut les embêter !
La calvaire de Sarah continue : Thibaud lui a piqué ses lunettes ( et cherche visiblement à fonder une nouvelle secte ).
Un autre grand classique des soirées C2 : le pictionnary chilien ( qui n'a rien à voir avec le pictionnary, ni avec le Chili ; c'est comme L'Automne à Pékin ). La troisième phase est chouette : elle donne matière à tout plein de photos et anecdotes compromettantes. Le but : faire deviner un personnage, véritable ou imaginaire, mort ou vivant, en le mimant. Et certains sont, il faut le dire, très doués... Devinerez-vous ceux qu'ils devaient mimer...?
2 commentaires:
Ah, ça y est, je suis enfin parvenue à débloquer une demi-heure de mon quotidien surchargé d'agrégative pour aller vous retrouver virtuellement (ma maman est aux anges, d'ailleurs, pour une fois que je m'occupe bien gentiment = ni sur un thème grec ni à danser jusqu'au bout de la nuit avec mes camarades rockeurs :-) ).
Bref, les détails de l'Affaire (Thrason) mieux que dans Closer = le plaisir d'avoir ENFIN les détails, jusqu'ici je m'étais cantonnée aux gros titres (pendant que j'y suis, la dernière goujaterie de Thrason à mon encontre : "V., n'aurais-tu pas un rhume ? tu as une voix plus rauque que d'habitude... et tu sais ce qu'on dit au XVIIè des filles qui ont une voix rauque... ?" :-)
"Ne multis uerbis", comme dit l'autre, je vous vois déjà suffisamment dans ma semaine... qu'en plus je me suis découverte un peu d'inspiration pour "meubler" (je parle pour moi, les autres c'est de la littérature) votre auguste "locus amoenus".
Prime particulière à la gardienne de chèvres ex-guévariste (la prochaine fois que tu comptes visiter Mir (pas Vaisselle - même si j'ai compris que ça joue un grand rôle dans votre kolkhoze - ça s'écrit comment déjà ? -), tu peux faire appel à moi : je troquerai ma médaille de baptême contre le pin's collector ramené depuis là-bas par ma soeur en colis exclusif).
Je crois que je vais bientôt pouvoir vous fournir un scoop : les photos de LA robe de K. à la Nuit ce soir, peut-être même une photo de Mlle M.D. ! Le tarif paparazzi, c'est combien ?
Savez-vous, comme dirait Thrason, où se trouve la Table des Correspondances Nompf C x = ? . Parce qu'étant, comme roturière, en dehors de votre féodalité, j'ai parfois un peu de mal à faire les recoupements. Et j'ai cru lire que je n'étais pas la seule. Est-ce que je pourrais moi aussi publier sur votre blog ?
Hoederer (qui prend une majuscule pour l'occasion, ça fait plus chic).
Je répare l'incohérence que vous ne manquerez pas d'avoir remarquée dans mon message précédent (enfin, à supposer que vous le lisiez...) : le pin's, il vient pas de Mir, juste de La Havane !
P.S. : Elle est trop belle, votre photo de groupe : idéal pour le générique d' "Amour, gloire et agrégation" (K. réussira-t-elle à détourner le vénérable Pr. D.P., de ses rêveries grammaticales ?).
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