mercredi 29 octobre 2008

Thèmelatinator : le nouveau jeu dont vous êtes le héros

En ces temps si mornes de "colloque de la Toussaint" ( "vacances", pour le commun des mortels qui, lui, a commencé à travailler en septembre et n'est donc pas sensé continuer à bosser ), vous ne savez pas quoi faire, vous tournez en rond et l'Ennui vous guette ? Une fois de plus, la Maison a ce qu'il vous faut :


Thèmelatinator : Apocalyptical Final Combat IV
Le Jeu de la Mort qui Tue



Grâce à ce nouveau jeu video de la maison Oulm Connektchiôn, vous aurez des milliers d'heures de jeu en perspective ( Gaffiot et grammaire Ernout-Thomas vendues à part ) et en plus, vous pourrez jouer, de manière tout à fait instructive, avec votre professeur ! Celui-ci vous indiquera en effet la nature de vos erreurs, sur votre copie, à l'aide de ces petits symboles aussi sympathiques qu'explicites que sont les ronds, les croix, les triangles et les carrés de votre Playstation, tout en commentant sa correction par un : "Mais enfin, ce sont des symboles tout à fait courants en thème latin !" ( ceux qui en ont déjà rencontré sont chaudement priés de laisser un commentaire ci-après, pour Edification des Foules Agrégatives ).

Tu veux savoir comment se passe une partie ? Tu n'as pas envie de voir ton argent disparaître en fumée, tel un trader de la Société Générale ? Tu as raison ! La Maison te donne donc l'occasion d'une petite démo. Prends la manette de gauche, pendant que ton Cher Professeur s'empare de celle de droite. Le thème de la partie : la fable de La Fontaine intitulée La Besace. Vous êtes prêts...? 5, 4, 3, 2, 1... go ! Que le meilleur gagne !

Dès le début, tu commences mal, mon amie : ton titre est immédiatement taclé par une vigoureuse pression sur le Δ. Ah, ah ! belle tentative de réplique avec un verbe introducteur qui aurait dû être en incise et qui, en plus, se trouve être "dicere" ! Tu ne l'avais pas vue venir, celle-là, hein ? Votre adversaire multiplie les +++ : vous perdez dix points de vie et vous vous retrouvez presque chaos. Pendant ce temps, les ++++++++ se multiplient en marge et ça chauffe sérieusement pour votre matricule, car vous commettez... votre premier barbarisme ! Bing ! un ◊ ( le lecteur est ici fermement invité à voir un carré dans ce losange ) s'incrit dans la marge. Et, pendant ce temps, les ΔΔΔΔΔ et les OOOOOOO se multiplient : il faudrait voir à être un peu plus économe en points de vie, jeune fille ! D'autant que les +++++++ sont également loin, très loin, de se rarifier. N'ayant pas pu trouver de traduction valable du terme "ciron" ( si vous ne savez pas ce que c'est, faites comme nous, consultez un dictionnaire ), vous pensez être soudain tombée que LA Bonne Idée : puisqu'il vous faut un animal tout petit, une tique ne serait pas mal, non ? Or, "tique", c'est traduit dans le Gaffiot !!!! Alléluïa ! Vous gagnez cent douze points de vie. Oui, mais c'était oublier Pétrone, qui dit qu'une tique, c'est pas si petit que ça, y a qu'à la voir quand elle est gorgée de sang. Out, la tique ! Votre Idée Géniale vous coûte : O ++, ainsi qu'un ◊ ( même remarque ), car vous avez écrit "ricimum" au lieu de "ricinum". Vous perdez deux cent quarante points de vie. Sur le point d'agoniser ( vous avez beau faire mumuse avec votre manette, votre prof est, décidément, bien meilleur que vous à ce jeu-là ), vous vous colletez avec deux vers aussi "simples" que "Le Fabricateur souverain / Nous créa besaciers tous de même manière", mais votre périphrase alambiquée, saccis constantes, vous vaut un "sens ?" TRÈS interrogatif : O +++. Encore une petite + pour la route, due à un ceterorum utilisé à la place d'un aliorum et s'en est fait de vous.

Bilan : 2 ◊, 11 O, 17 Δ, 57 +.

Vous êtes à 5/20.

Game Over.



Et, pour finir, juste une mention spéciale pour la personne qui, dans les vers " ( L'Ours ) Glosa sur l'Elephant ; dit qu'on pourrait encor / Ajouter à sa queue, ôter à ses oreilles", a traduit "queue" non par "cauda", mais par "penis". Si l'on avait mauvais esprit ( loin de nous une telle Dérive ! ), on pourrait suggérer que le contexte laisse à penser que l'auteur de cette bourde ne peut être qu'un membre de la gente masculine, mais, ce blog étant l'Antre de la Bienséance, nous ne nous le permettrons bien sûr pas.



Nompf C218 ( dont tout le monde sait maintenant qu'elle a du boulot devant elle en thème latin :p )

jeudi 23 octobre 2008

La Nuit du Guépard - récit subjectif

Zorrette fait des ravages...


La journaliste est un peu ennuyée d'avoir choisi une vêture ni trop habillée, ni trop peu : la classe est de mise, la prochaine fois elle mettra vraiment le paquet (mais elle aura 4 kilos en

moins).

A droite, une photo publiée par honnêteté intellectuelle.


La Nompfette se marie : derrière, ce sont les demoiselles d'honneur.



Et si j'envoyais cette photo à M. D. P ?






Les belles de la soirée





Reportage spécial de votre nouvelle journaliste : Nompf 007 qui fait ici ses premiers pas dans les médias d'envergure (CV : rédactrice en chef du Paul-Bert ExPresse à 7 ans, avec le scandale d'un article révolutionnaire contre Edouard Bled, le seul article qui osait dire tout haut ce que tout le monde pensait tout bas, lequel fut censuré par les autorités).

Bref, comme toute renégate de la presse écrite, je me suis vue "refourguer" le sale boulot, à savoir la couverture intégrale des événements de la Nuit d'Ulm, quand mon adorable patronne me laissait à mes piges et allait danser (mais c'est bien connu, le Diable s'habille en Prada).

Soirée chic, très chic, même si ça n'a pas atteint le "niveau d'excellence" du Bal de Polytechnique (avis aux connaisseurs). Comme quoi, même le diplôme ne sauve rien. La chose qui l'était moins (chic), c'était d'attendre dehors dans la froidure que ces vénérables vigiles veuillent bien nous faire entrer. Une petite impression d'être à Cannes et de faire la queue, comme toutes les grandes stars de ce monde, pour monter le tapis rouge.
Je retrouvai donc à l'intérieur la Patronne (arrivée en retard, bien évidemment ; c'est la politesse des rois), et pas mal de têtes connues mais plus ou moins oubliées depuis un certain temps. Une sorte de bal des fantômes, dans le froufrou des robes, avec tout ce qu'il faut de minauderies de la part de ces demoiselles à l'endroit de leur(s) cavalier(s).
Un très bon laboratoire d'études sociales : j'ai tout de suite compris que la soirée serait intéressante.

Ayant retrouvé Mlle E. P. bien bellement vêtue (croqueuse d'hommes, selon ma patronne - la restriction est importante, par laquelle je sauve l' "honneur" (?) de ma consoeur : en salsa, du moins), ainsi qu'une certaine demoiselle M.D. (dont j'oublie toujours l'Identifiant) tout aussi élégante, nous entreprenons de faire le tour des salles puisque les vestiaires sont très bondés (à quoi sert-il d'attendre ?).



Pas d'ambiance en salsa si ce n'est le toujours bondissant Philippe P., encore au bras d'une nouvelle demoiselle, et qui, par sa seule présence (il faut bien l'avouer), nous fait perdre l'envie de tenter une portoricaine. Reste le rock, encore un peu mou, mais dans une salle des Actes tapissée aux couleurs d'Elvis, il faut saluer les initiatives. Nous retrouvons des amis, dansons un peu, virevoltant de salle en salle et de mondanités en mondanités.

C'est entre minuit et demi et deux heures et demi qu'ont eu lieu, à mon sens, les plus beaux moments. Tout a commencé par le drame de la médiocrité quand nous retrouvons certaines connaissances qui, il faut bien le dire, n'ont pas évolué pour le mieux. Il y a ceux qui flirtent avec le sordide, d'autres avec la réaction politique, voire morale (oserais-je dire que l'image de Drieu la Rochelle, excepté pour son engagement fasciste, s'est imposée à moi à la vision de certains personnages ?). Ensuite, il y a la parenthèse en tous points abjecte d'un Thrason qui veut nous faire croire à son ivrognerie, pour après cinq minutes, à ma question effarouchée, me répondre d'une voix glaçante qu'il ne boit jamais : le sieur Thrason est un bon commentateur de Justin, mais aussi et surtout un excellent Méphistophélès : il y a du Faust dans l'air !

Valses sous la pleine lune et en pleine froidure : tous les ingrédients du bon mélodrame, et aussi une sorte de douceâtre déception amicale sur musique romantique. C'est un air à vous rendre plus amoureux ou plus philosophe : sans doute les deux. J'inaugure donc la phase de la "non-compromission" = j'en ai marre de danser avec plein de gens avec qui je n'ai pas envie de danser : pendant une heure et demie, je refuse les danses pour mieux goûter dans des conversations avec le sieur Y.F. ou la philosophe A. L., amis de longue date, la magie de cette splendide Nuit.
"Dans le Guêpard au moins, le Prince assiste à un monde qui meurt, me dit Y.F. Ici, on voit toute la médiocrité maniérée et adorable d'un monde qui végète, lui dis-je."

Finalement, un ami vient me tirer de ces spirituelles méditations collectives en m'offrant une coupe de vin, ce qui, ma foi, ne se refuse pas. Je me relance dans des rocks endiablés, jusqu'à trois heures et demi du matin. Entre temps, la belle Grande Nompf a dû quitter le bal, telle Cendrillon , ainsi que Mlle E. P. Le taximan qui me ramène chez moi est en train d'écouter, apparemment avec avidité, l'émission pornographique nocturne de France Inter : pour tout dire, je ne savais pas que ça existait. J'essaie discrètement de lui faire comprendre que ce n'est pas trop mon goût, je vois que ce serait priver cet homme d'un bien grand plaisir : j'entends donc d'une oreille distraite, en riant sous cape, tout ce que l'oisiveté humaine peut bien inventer sur un mode pseudo-littéraire. Le répétitif des situations, volontairement plus tordues les unes que les autres, finit par me lasser : il est vrai que ce monde est bien sordide, et pourtant on y est fort heureux.

Nompf 007 alias Halle Berry




mardi 21 octobre 2008

À propos du terme "époside"

Il s'agit ici de répondre publiquement à un commentaire publié à propos de l'énigmatique "époside" qui accompagne l'intitulé de post "La minute H", deuxième du nom (voir à ce propos le premier commentaire de "La minute H, 2è époside"). Devant les interrogations suscitées par ce terme, pourtant tout à fait usuel, nous nous sommes mis en quête de son étymologie.


Époside :

Étymologie incertaine, certains le font venir du français "épisode" en postulant une métathèse de timbre vocalique permise par la disposition des touches d'un clavier azerty plutôt petit, de macbook, ou même de netbook, mais ce n'est pas admis par tout le monde.
D'autres, et c'est l'hypothèse la plus sage, le font dériver du grec epos ; on aurait là un adjectif substantivé suffixé en -ide, fait à partir du substantif. Si l'on admet cette hypothèse il faudrait traduire l'adjectif "époside" comme "qui relève de la parole", "qui s'apparente à la parole", et le substantif époside par "ensemble de sons articulés ayant vocation à s'approcher de ce que l'on entend habituellement par parole".
Le contexte ne permet pas de trancher. On peut tout à fait comprendre le titre "2è époside" comme notant en fait "2è épisode", d'autant plus que le texte intitulé "2è époside" s'insère dans un ensemble de textes certes très hétérogènes, mais dont certains, un en particulier, "La minute Thrason", se présentent explicitement comme le récit d'un épisode de série télévisée.
Cela étant, cet argument est réfutable d'abord parce que tous les textes du corpus ne relèvent pas du genre du récit d'épisode, et ensuite parce que l'autre texte intitulé "la minute H", qui se trouve précisément dans le même corpus, n'est pas du tout construit comme "La minute Thrason". Il convient donc sans doute de comprendre "2è époside" comme "2è ensemble de parole en puissance" d'autant plus que le contenu du texte, et même de chacun des deux textes intitulés "La minute H" incline très fortement à penser dans ce sens.

Tout le monde l'aura compris, quand un linguiste se trompe et que cela se voit, il fait toujours preuve de la meilleure foi du monde.

Nompf C213

lundi 20 octobre 2008

On a retrouvé Madame Soleil !

Si, comme beaucoup de candidats à l'agrégation, vous vous ressentez l'urgent besoin de consulter une voyante à propos des résultats à venir ou du nombre de postes en jeu cette année,

ne cherchez plus !


En exclusivité, Nompf a trouvé pour vous la meilleure des voyantes. Et même qu'elle fait ses prédictions gratuitement et qu'elle les délivre à la face de tous ! Son nom : Monique C.-S. Son adresse : 45 rue d'Ulm, dans le Vème arrondissement, à Paris.

Comment le savons-nous ? C'est simple : elle a fait afficher, sur la porte de la tour C, une jôôôôlie feuille de papier, dont le message commence à peu près par ces mots : "Comme vous avez pu le constater, un exercice d'alerte à incendie a eu lieu le jeudi 26 octobre..."

Eh oui, cher lecteur, vous aussi vous venez de consulter fébrilement votre agenda : nous sommes aujourd'hui le 20 octobre. Donc, avec six jours d'avance et en se trompant quelque peu sur le jour de la semaine ( le 26 octobre tombe en effet un samedi cette année ; mais peut-être que cette Visionnaire ne parle pas de 2008 ? C'est vrai, ce serait d'un grossier, comme prédiction ! ), notre nouvelle Irma nous annonce un exercice d'alerte à incendie qui a eu lieu, en réalité, lundi 14 à 22h30 ( vous pouvez me croire sur parole : je sortais de la douche après un cours de danse éreintant et je n'avais qu'une envie, aller me coucher ; les oreilles des responsables ont dû siffler ).

Ça promet pour les nouvelles orientations de notre Chère Ecole, avec une telle Pythie à la barre !


Nompf C218


Ps spécial à l'attention des occupants de la tour B : si j'étais vous, je me méfierais soit jeudi, soit samedi prochain. Il semblerait qu'on vous prépare une petite sortie réjouissante en pleine nuit dans la cour ...!

La minute H, 2è époside

Parce que cette année, H est en forme, et que nous en profitons bien, voilà livrées pour vous quelques unes de ses dernières facéties :

H au dîner, cela donne :

- " C'est bon les carottes. D'ailleurs pourquoi on dit que cela rend aimable ? "
pause, et quelques bouchées plus tard :
- "Je vais vérifier dans le Robert."
pause, et quelques pages plus tard :
- "En fait ça vient du latin, qui lui-même vient du grec. Chantraine pense que c'est dérivé du mot qui veut dire tête
- quel rapport avec l'amabilité ?
- grand dieu, absolument aucun ! "


Quand H rencontre Nompf C 204, cela donne :

C'était lors de la très élégante nuit de la rue d'Ulm. H était tout de même dans un superbe costume à la couleur étudiée pour aller à son teint, et notre charmante C 204 avait une robe droite taille empire avec de fines broderies à l'anglaise... Nos deux icônes de l'élégance se croisent au détour d'un escalier, et se saluent courtoisement :

N. : Tu as l'air d'un plouc comme ça !
H : de la part de quelqu'un qui s'habille en nuisette...

Comment dit-on déjà ? qui aime bien châtie bien ?

Nompf C 213, au premier rang des agônes

mercredi 15 octobre 2008

Le Retour au C2 des Anciens du C2 !

And last, but not least, le retour des Anciens du C2 au C2 ! Hé oui, nous pensions être désormais tranquilles, mais c'était compter sans l'opiniâtreté de Thibaud et Jérémie. Le tout a donné une soirée d'anthologie organisée au dernier moment ( qui a dit "comme d'habitude" ? ). Jugez plutôt.


Une fois de plus, ce sont les filles qui se collent à la préparation.



En plus, vous pouvez voir, en bas à gauche, l'adorable Enora, qui, bien qu'invitée, met la main à la pâte, sous prétexte qu'on l'a prévenue trop tard pour qu'elle puisse nous faire ses légendaires Shortbreads écossais.


Non, nous ne sommes pas en train de réciter le bénédicité ( on n'est pas au B6, non plus ! ), mais le repas peut quand même commencer.


Quelques portraits de convives...


Hamidou.



Karine.



Thibaud, notre idole à tous, qui nous manque beaucoup depuis qu'il est parti à Toulouse.



Jérémie.



Myriam ( qui culpabilise d'avoir bu tant de punch pour sa première soirée parmi nous )et Pauline ( qui ne culpabilise pas du tout : on est une vieille routarde ou on ne l'est pas ! Et, oui, j'aime parler de moi à la troisième personne ! Je vous rappelle que je suis latiniste ! ).



Mais aussi, y a pas que nous qui picolons, d'abord !



Vous nous croyez si on vous dit que Jérémie ne boit pas d'alcool ?



Ajda et Enora.



Deux playboys sur un balcon...



... forcément, ça fait des dégâts...!



Pendant ce temps-là, Enora se fait toujours honteusement exploiter.




Thibaud a royalement offert à Sarah un pot de sauce pesto et lui propose de la déguster roulée dans une crèpe.



Bonne joueuse, elle s'exécute...



Comme vous pouvez le constater, c'est dé-li-cieux.



Simon aime le punch : d'ailleurs, il est en train de le finir...



Ça discute sec d'un côté de la table...



... de l'autre aussi...



... pendant que certains médisent à qui mieux mieux.



Nous étions en bonne compagnie, ce soir-là : deux agrégés, l'une de lettres classiques, l'autre de grammaire ( et Thibaud et Jérémie, mais ce sont des matheux, donc ils comptent pour du beurre, voilà ) !



Exclusif : les grammairiens n'ont pas disparu, nous en avons retrouvé deux !



Et en plus, ils s'entraident quand on veut les embêter !



La calvaire de Sarah continue : Thibaud lui a piqué ses lunettes ( et cherche visiblement à fonder une nouvelle secte ).


Un autre grand classique des soirées C2 : le pictionnary chilien ( qui n'a rien à voir avec le pictionnary, ni avec le Chili ; c'est comme L'Automne à Pékin ). La troisième phase est chouette : elle donne matière à tout plein de photos et anecdotes compromettantes. Le but : faire deviner un personnage, véritable ou imaginaire, mort ou vivant, en le mimant. Et certains sont, il faut le dire, très doués... Devinerez-vous ceux qu'ils devaient mimer...?



Hamidou.



Pauline.



Enora.



Thibaud.



Elodie.



Jérémie.



Sarah.



C'est le départ...



.... et, une fois de plus, ce sont les filles qui s'y mettent pour ranger. Et il y en a encore pour se scandaliser de ce que les accords par défaut soient faits au féminin ici !

Soirée de rentrée du C2

Et voici la fameuse soirée de rentrée du C2 ! Nous sommes d'avance désolées pour les photos qui vous causeront un torticoli : la maison n'a pas encore trouvé comment les redresser ; mais ça ne saurait tarder !

Commençons par la préparation :

Aux fonds de tartes, Simon.


Hé oui, les soirées C2, c'est aussi des restes à manger pour une semaine ! Et, là, la table n'était pas encore tout à fait pleine !


Ajda est notre Conscience Diététique : vivent les concombres !


Une institution du C2 : le punch de Karine. Dommage qu'on n'ait pas de photo d'elle à l'oeuvre. J'en profite pour passer un message personnel à Anne-Lise ( cf. le lien "il y a une vie après l'agrégation ! ) : je suis la seule goûteuse de l'étage, nananère ! :p



Et les festivités commencent...


Notre nouvelle tribu de matheux : Simon, Louis, Xiao, Sylvain, Céline.


Le punch, c'est bon !


C'est même super bon, surtout quand on l'a fait et goûté !


Sarah et Xiao.


Ajda, Louis et Simon.


Un bout de la table.


L'autre bout de la table : Thomas, Constance, Sylvain C., Céline et Julien.